Le Sweat Homewear

Taillé pour ne plus vouloir l’enlever.

Pour qu’il soit archi confort, on a choisi une coupe loose mais plutôt courte histoire d’éviter l’effet sac à patates. Les manches raglan sont bien larges et le col est échancré juste ce qu’il faut pour ne pas étouffer.

Pour la taille, le volume global est assez généreux, donc mieux vaut prendre celle en dessous si vous hésitez entre deux.

Pas de doute, ce Sweat tient la route.

Voilà ce qu’il a dans le ventre.

Sa compo : 83 % de lyocell et 17 % de laine, un mélange savamment dosé aussi connu sous le nom d’American Fleece. Résultat : une matière ultra-douce, thermo-régulatrice et antibactérienne. Le lyocell est une matière produite à partir de pulpe de bois. C’est une fibre douce, légère et biodégradable avec des propriétés respirantes et durables. Elle match parfaitement avec la laine qui apporte résistance et élasticité. Banco.

305 g/m² au compteur : pour faire simple, la matière est dense et elle tient chaud sans jamais étouffer. Ce qui fait qu’elle tombe bien, garde sa forme et supporte les lavages sans jamais faire la tronche. Costaude et cocooning.

Stop aux bouloches : des fibres longues, solides et zéro intention de se défiler.

Les ribs : c’est ce qu’il y a au bout des manches pour éviter toute déformation. Ici, 90% de coton et 10% d’élasthanne pour le maintien. Rien à voir avec un virement bancaire.

Tenue correcte exigée.

Il a fini 9ᵉ sur 31 dans notre plan de collection Automne Hiver 2025, et vous étiez 2070 à militer pour une tenue cocooning digne de ce nom.

Vous voulez du confort sans sacrifier votre style, et on vous a entendues. On a même soigné les finitions : un tricot French terry doux et lisse d’un côté, tissu-éponge de l’autre, une matière Américain Fleece durable, des coutures flatlock et des ourlets à double surpiqûre pour la dégaine. Ça fait pas mal d’angliscismes tout ça, mais quand on vous demandera “Where is Brian?” vous pourrez répondre “Dans son sweat homewear”.